Mes jardins
Dans le jardin il ya tant détruite
par la main d'un poète invalide idiot,
ne sachant pas que le printemps a refusé d'examiner
renouvellement de rêves et de les transformations,
ne suivant pas la vitesse du temps, constant,
mais en même temps délétères.
Dans le jardin, où le sommeil pourris espérance
sen agitant l'extrémité de la tempête et inévitable
qu'un jour pourrait être au moins quelque espoir.
J'entrai, et je vois ma reste pour angles oubliés du donjon;
avortés par avance vain d'une joie qui n'était qu'un illusion.
Et ce sable mouvant de boue pénétrant, combien j'ai avoir?
Simplement être sûr de ne pas et ne jamais impliqué
dans chaque ligne et chaque pensée,
grisonnant et hésitante ton de ma folie ...
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